Extraits de livres ou de documents. Vidéos et articles de presse. Cette section du site regroupe les interviews et les témoins de cette époque.
La troisième édition du livre intitulé "Ero vili, le chantier de galets de Tréguennec" est disponible dans les différents points listés en bas de page.La première édition, paru en septembre 2019, avait été épuisé en moins d'un mois. La ré-édition, publiée dans la foulée, n'aura pas réussie à atteindre la nouvelle année, espérons que cette deuxième ré-édition, qui fait atteindre les 2000 exemplaires parus, ne sera pas épuisée avant l'été 2020...
Ci contre l'article paru dans le quotidien Le Télégramme en date du 11 septembre. accédez ici à celui du 2 octobre. annoncant la réédition, et ici à celui du 5 novembre relatif au projet architectural de Geoffroy Griveaud en 2017 (voir la page dédié).
Avec en sous-titre "l'Ero vili et sa destruction (1942-1968)" ce livre retrace les quarante et quelques années qui ont vu l'exploitation puis la disparition du sillon de galets. A partir de l'occupation allemande, vous pourrez suivre pas à pas la construction du chantier de concassage de Tréguennec, l'exploitation des galets pour la construction du mur de l'Atlantique, puis la période de la Libération, celle de la Reconstruction et la fermeture de "l'usine" après-guerre.
Vous découvrirez également d'où viennent ces galets dont on disait que la mer les renouvelait sans cesse, comment et pourquoi l'Ero vili a commencé à donner des signes de faiblesse, et les étapes de sa quasi disparition dans les tempêtes des années 60-70. Le dernier volet du livre traite de la mise en valeur du site ou se trouve les vestiges du concasseur, et met en exergue 3 projets architecturaux construits à cet effet. Ero vili est disponible au prix de 28 euros. Vous le trouverez (prochainement) dans les points de vente suivants :
LE CAP
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LE PAYS BIGOUDEN
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LE PAYS BIGOUDEN (suite)
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MAIS PAS QUE ...
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Découvert par un promeneur ce jeudi matin sur une plage de Tréguennec, un obus de 40 mm a été pétardé. La munition reposait auprès d'un blockhaus. Immédiatement prévenu, le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage de Corsen a sollicité le concours du groupement des plongeurs-démineurs de l’Atlantique. L’équipe d’alerte, composée de quatre marins plongeurs-démineurs et d’un marin infirmier, s’est rendue sur place en fin de matinée. La munition, un obus de 40mm, a été détruite sur place, à l’intérieur du blockhaus, pour limiter la propagation d’éclats métalliques. Pendant l’opération de contre-minage, la sécurité du site a été assurée par la brigade territoriale de proximité de gendarmerie de Pont-l’Abbé. On se rappelle l'épouvantable drame survenu à Groix à la fin de l'été : un jeune est mort à la suite de l'explosion d'un obus situé sous un feu de camp allumé sur une plage. Ce drame rappelait malheureusement que des milliers de munitions dorment encore sur le littoral breton.
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